Photos de la solennité de saint Eugène le 20 novembre 2011 dernier

Voici quelques photos de notre fête paroissiale, au cours de laquelle la Schola Sainte Cécile a interprété la Messe Gaudete in Domino semper dite du Sacre de Louis XVI, de François Giroust.

Aux collectes de la messe.

DEVS, qui nos Martyris tui confessióne gloriósa circumdas et protegis : præsta nobis ; et ejus intercessióne gaudere, et oratióne fulciri.
Dieu qui nous entoure et nous protège par la confession glorieuse de ton martyr, le bienheureux Eugène, accorde-nous que son intercession nous réjouisse et que sa prière nous soutienne.

Traduction de l’épître par le sous-diacre.

Caríssimi : Beátus vir, qui suffert tenta-tiónem : quóniam cum probátus fúerit, accípiet corónam vitæ, quam repromísit Deus diligéntibus se.
Mes bien-aimés : Heureux l’homme qui sup-porte l’épreuve, car après avoir été éprouvé, il recevra la couronne de vie que Dieu a promise à ceux qui l’aiment.

Au Symbole de la foi.

Et unam sanctam cathólicam et apostólicam Ecclésiam.
Je crois à l’Eglise, une, sainte, catholique et apostolique.

Au canon.

Ut tantam habéntes impósitam nubem téstium, per patiéntiam currámus ad propósitum nobis certámen, et cum eis percipiámus immarcescíbilem glóriæ corónam.
Afin que, soutenus par cette foule immense de témoins, nous courions jusqu’au bout l’épreuve qui nous est proposée et recevions avec eux l’immarcescible couronne de gloire.

Chant de l’Ite missa est par le diacre.

Suscipiéntes, Dómine, pignus æternæ vitæ, ne permittas propter amorem podibilis vitæ admittere illicita : qui Martyri tuo Eugenio dedisti propter timorem et amorem tuum duros corporis dolores libenter pati.
Ceux qui ont reçu les gages de la vie éternelle, Seigneur, ne les laisse pas commettre des actes interdits par amour d’une vie haïssable ; toi qui as accordé à Eugène, ton martyr, à cause de la crainte et de l’amour qu’il te portait, de supporter librement les souffrances du corps.

Au dernier évangile

Huc volat fidens populus salutis :
Dum colit patris cineres verendi,
Corporis morbos animique pellunt
Numine pleni.
Le peuple, dans la confiance d’obtenir la santé du corps et de l’âme, vole au tombeau d’Eugène : & tandis qu’il honore les cendres d’un père aussi respec-table, ces reliques pleines encore de la vertu du Dieu vivant, chassent leurs maladies corporelles et spirituelles.

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