Vous êtes chanteurs ou instrumentistes et vous souhaitez vous engager au service de la liturgie traditionnelle, n’hésitez pas à nous rejoindre !

La Schola Sainte Cécile chante dans la basilique Saint-Pierre de Rome au Vatican

Nous offrons des cours de chant gratuits chaque samedi de 16h30 à 17h30 : travail du souffle, pose de voix, vocalises, découverte du chant grégorien et du chant polyphonique.

Les Petits Chantres de Sainte Cécile - maîtrise d'enfants

Votre enfant a entre 8 et 15 ans et souhaite chanter ? Inscrivez-le aux Petits Chantres de Sainte Cécile (filles et garçons). Répétitions le mercredi à 18h30 et le dimanche à 10h30.

Retrouvez les partitions que nous éditons, classées par temps liturgique ou par compositeur. Elles sont téléchargeables gracieusement.

Dirigatur du IInd ton

Réalisation : Henri de Villiers .
Pendant les encensements de l’offertoire : Dirigatur du IInd ton.
4 voix mixtes (SATB).
1 page.

Plusieurs provinces de France (Normandie, Champagne) connaissaient sous l’Ancien Régime l’usage de psalmodier avec antienne par le chœur les versets du psaume 140 que le Missel romain fait réciter secrètement au célébrant pendant que celui-ci encense l’autel & les oblats à l’offertoire. Nous avons repris cet usage (encore bien vivant en Normandie au XXème siècle) à Saint-Eugène – Sainte-Cécile pour les dimanches après la Pentecôte, en faisant en sorte que le ton sur lequel nous chantons le Dirigatur s’accorde avec celui de l’offertoire de la messe du jour. Les antiennes – facilement reprises par le peuple – sont celles transmises par la tradition normande (de simples psalmodies un peu plus ornées), ou bien – à leur instar – ont été recomposées à partir d’anciens tons de psalmodies ornées autrefois en usage en France (comme ici pour ce Dirigatur du IInd ton, où l’antienne a été reprise d’une ancienne psalmodie oratorienne). Les versets du psaume sont chantés en faux-bourdons parisiens à quatre parties, dans lesquels la teneur grégorienne est chanté par l’une des voix (ici celle du dessus, mais on peut échanger également les parties de dessus & de taille). Ce faisant, les fidèles sont progressivement familiarisés avec les huit tons de l’octoèque grégorien, surtout dans les paroisses où ils ont peu l’habitude de psalmodier les offices.

Plain chant, texte & traduction :
Dirigatur du IInd ton

℟. Que ma prière, Seigneur, s’élève comme l’encens devant toi.
(les fidèles sont invités à reprendre ce répons avec la schola).
℣. Elevátio mánuum meárum * sacrifícium vespertínum. ℣. L’élévation de mes mains soit un sacrifice vespéral.
℣. Pone, Dómine, custódiam ori meo * et óstium circumstántiæ lábiis meis. ℣. Mets Seigneur une garde à ma bouche, et une barrière sur la porte de mes lèvres.
℣. Non declínes cor meum in verba malítiæ * ad excusándas excusatiónes in peccátis. ℣. Ne laisse pas dévier mon cœur à des paroles de malice, cherchant des excuses aux œuvres d’iniquité.
℣. Glória Patri, et Fílio, * & Spirítui Sancto. ℣. Gloire au Père et au Fils et au Saint Esprit.
℣. Sicut erat in princípio, & nunc, & semper : * & in sæcula sæculórum. Amen. ℣. Comme il était au commencement, & maintenant, & toujours, & dans les siècles des siècles. Amen.

Les premières mesures de cette partition :

Dirigatur du 2nd ton

 
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Dirigatur du VIème ton

Réalisation : Henri de Villiers .
Pendant les encensements de l’offertoire : Dirigatur du IVème ton.
4 voix mixtes (SATB).
1 page.

Plusieurs provinces de France (Normandie, Champagne) connaissaient sous l’Ancien Régime l’usage de psalmodier avec antienne par le chœur les versets du psaume 140 que le Missel romain fait réciter secrètement au célébrant pendant que celui-ci encense l’autel & les oblats à l’offertoire. Nous avons repris cet usage (encore bien vivant en Normandie au XXème siècle) à Saint-Eugène – Sainte-Cécile pour les dimanches après la Pentecôte, en faisant en sorte que le ton sur lequel nous chantons le Dirigatur s’accorde avec celui de l’offertoire de la messe du jour. Les antiennes – facilement reprises par le peuple – sont celles transmises par la tradition normande (de simples psalmodies un peu plus ornées), ou bien – à leur instar – ont été recomposées à partir d’anciens tons de psalmodies ornées autrefois en usage en France (comme ici pour ce Dirigatur du VIème ton, où l’antienne a été reprise d’une ancienne psalmodie oratorienne). Les versets du psaume sont chantés en faux-bourdons parisiens à quatre parties, dans lesquels la teneur grégorienne est chanté par l’une des voix (ici celle du dessus, mais on peut échanger également les parties de dessus & de taille). Ce faisant, les fidèles sont progressivement familiarisés avec les huit tons de l’octoèque grégorien, surtout dans les paroisses où ils ont peu l’habitude de psalmodier les offices.

Plain chant, texte & traduction :
Dirigatur du VIème ton

℟. Que ma prière, Seigneur, s’élève comme l’encens devant toi.
(les fidèles sont invités à reprendre ce répons avec la schola).
℣. Elevátio mánuum meárum * sacrifícium vespertínum. ℣. L’élévation de mes mains soit un sacrifice vespéral.
℣. Pone, Dómine, custódiam ori meo * et óstium circumstántiæ lábiis meis. ℣. Mets Seigneur une garde à ma bouche, et une barrière sur la porte de mes lèvres.
℣. Non declínes cor meum in verba malítiæ * ad excusándas excusatiónes in peccátis. ℣. Ne laisse pas dévier mon cœur à des paroles de malice, cherchant des excuses aux œuvres d’iniquité.
℣. Glória Patri, et Fílio, * & Spirítui Sancto. ℣. Gloire au Père et au Fils et au Saint Esprit.
℣. Sicut erat in princípio, & nunc, & semper : * & in sæcula sæculórum. Amen. ℣. Comme il était au commencement, & maintenant, & toujours, & dans les siècles des siècles. Amen.

Les premières mesures de cette partition :

Dirigatur du 6ème ton

 
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Dirigatur du Vème ton

Réalisation : Henri de Villiers .
Pendant les encensements de l’offertoire : Dirigatur du Vème ton.
4 voix mixtes (SATB).
1 page – Ré Majeur.

Plusieurs provinces de France (Normandie, Champagne) connaissaient sous l’Ancien Régime l’usage de psalmodier avec antienne par le chœur les versets du psaume 140 que le Missel romain fait réciter secrètement au célébrant pendant que celui-ci encense l’autel & les oblats à l’offertoire. Nous avons repris cet usage (encore bien vivant en Normandie au XXème siècle) à Saint-Eugène – Sainte-Cécile pour les dimanches après la Pentecôte, en faisant en sorte que le ton sur lequel nous chantons le Dirigatur s’accorde avec celui de l’offertoire de la messe du jour. Les antiennes – facilement reprises par le peuple – sont celles transmises par la tradition normande (de simples psalmodies un peu plus ornées), ou bien – à leur instar – ont été recomposées à partir d’anciens tons de psalmodies ornées autrefois en usage en France (comme ici pour ce Dirigatur du IVème ton). Les versets du psaume sont chantés en faux-bourdons français à quatre parties, dans lesquels la teneur grégorienne est chanté par l’une des voix (ici celle du dessus, mais on peut échanger également les parties de dessus & de taille). Pour ce Dirigatur du Vème ton, nous avons utilisé une psalmodie oratorienne très populaire autrefois, et un faux-bourdon à l’usage de l’Eglise de Nîmes (1834). Ce faisant, les fidèles sont progressivement familiarisés avec les huit tons de l’octoèque grégorien, surtout dans les paroisses où ils ont peu l’habitude de psalmodier les offices.

Plain chant, texte & traduction :
5ème ton

℟. Que ma prière, Seigneur, s’élève comme l’encens devant toi.
(les fidèles sont invités à reprendre ce répons avec la schola).
℣. Elevátio mánuum meárum * sacrifícium vespertínum. ℣. L’élévation de mes mains soit un sacrifice vespéral.
℣. Pone, Dómine, custódiam ori meo * et óstium circumstántiæ lábiis meis. ℣. Mets Seigneur une garde à ma bouche, et une barrière sur la porte de mes lèvres.
℣. Non declínes cor meum in verba malítiæ * ad excusándas excusatiónes in peccátis. ℣. Ne laisse pas dévier mon cœur à des paroles de malice, cherchant des excuses aux œuvres d’iniquité.
℣. Glória Patri, et Fílio, * & Spirítui Sancto. ℣. Gloire au Père et au Fils et au Saint Esprit.
℣. Sicut erat in princípio, & nunc, & semper : * & in sæcula sæculórum. Amen. ℣. Comme il était au commencement, & maintenant, & toujours, & dans les siècles des siècles. Amen.

Les premières mesures de cette partition :

Dirigatur du Vème ton

 
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Dirigatur du IVème ton

Réalisation : Henri de Villiers .
Pendant les encensements de l’offertoire : Dirigatur du IVème ton.
4 voix mixtes (SATB).
1 page.

Plusieurs provinces de France (Normandie, Champagne) connaissaient sous l’Ancien Régime l’usage de psalmodier avec antienne par le chœur les versets du psaume 140 que le Missel romain fait réciter secrètement au célébrant pendant que celui-ci encense l’autel & les oblats à l’offertoire. Nous avons repris cet usage (encore bien vivant en Normandie au XXème siècle) à Saint-Eugène – Sainte-Cécile pour les dimanches après la Pentecôte, en faisant en sorte que le ton sur lequel nous chantons le Dirigatur s’accorde avec celui de l’offertoire de la messe du jour. Les antiennes – facilement reprises par le peuple – sont celles transmises par la tradition normande (de simples psalmodies un peu plus ornées), ou bien – à leur instar – ont été recomposées à partir d’anciens tons de psalmodies ornées autrefois en usage en France (comme ici pour ce Dirigatur du IVème ton). Les versets du psaume sont chantés en faux-bourdons parisiens à quatre parties, dans lesquels la teneur grégorienne est chanté par l’une des voix (ici celle du dessus, mais on peut échanger également les parties de dessus & de taille). Ce faisant, les fidèles sont progressivement familiarisés avec les huit tons de l’octoèque grégorien, surtout dans les paroisses où ils ont peu l’habitude de psalmodier les offices.

Plain chant, texte & traduction :
Dirigatur du 4ème ton

℟. Que ma prière, Seigneur, s’élève comme l’encens devant toi.
(les fidèles sont invités à reprendre ce répons avec la schola).
℣. Elevátio mánuum meárum * sacrifícium vespertínum. ℣. L’élévation de mes mains soit un sacrifice vespéral.
℣. Pone, Dómine, custódiam ori meo * et óstium circumstántiæ lábiis meis. ℣. Mets Seigneur une garde à ma bouche, et une barrière sur la porte de mes lèvres.
℣. Non declínes cor meum in verba malítiæ * ad excusándas excusatiónes in peccátis. ℣. Ne laisse pas dévier mon cœur à des paroles de malice, cherchant des excuses aux œuvres d’iniquité.
℣. Glória Patri, et Fílio, * & Spirítui Sancto. ℣. Gloire au Père et au Fils et au Saint Esprit.
℣. Sicut erat in princípio, & nunc, & semper : * & in sæcula sæculórum. Amen. ℣. Comme il était au commencement, & maintenant, & toujours, & dans les siècles des siècles. Amen.

Les premières mesures de cette partition :

Dirigatur du 4ème ton

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Messe du 20 juillet 2014 (VIème dimanche après la Pentecôte) à Saint-Eugène – Sainte Cécile (Paris IX) :